Notions pour entrepreneur en charpentes de bois (Partie 1)

Dec 12 / Serge Williams
Définir les termes associés aux charpentes de bois : gauchissement, degré d’humidité, etc.

Voici quelques définitions pour les termes associés aux charpentes de bois que vous avez mentionnés, ainsi que d'autres termes que vous pourriez trouver utiles :

  1. Gauchissement : C'est une déformation qui se produit lorsqu'une pièce de bois se tord ou se courbe en raison de variations d'humidité ou de température. Il existe plusieurs types de gauchissements, y compris le cintrage (courbure le long de la largeur de la planche), le voile (courbure le long de la longueur de la planche), le torsion (tordu le long de la longueur), et le bombage (courbure le long de l'épaisseur).

  2. Degré d’humidité : Il s'agit de la quantité d'eau présente dans une pièce de bois, généralement exprimée en pourcentage du poids sec du bois. Le degré d'humidité a un impact significatif sur la stabilité dimensionnelle du bois. Un degré d'humidité trop élevé ou trop faible peut entraîner des gauchissements ou des fissures.

  3. Charpente : Il s'agit de l'ossature de bois qui supporte la structure d'un bâtiment. Les charpentes peuvent être réalisées de diverses manières, en fonction des exigences de la structure et du style architectural.

  4. Sciage : Il s'agit du processus de coupe du bois brut en pièces utilisables, telles que des planches ou des poutres. Le sciage peut influencer l'apparence, la performance et le prix du bois.

  5. Nœud : Un nœud est l'endroit où une branche était attachée au tronc de l'arbre. Les nœuds peuvent affecter l'aspect esthétique du bois et, dans certains cas, sa résistance structurelle.

  6. Fendillement : Ce terme désigne les fentes qui apparaissent sur le bois, souvent dues à un séchage inégal.

  7. Bois de bout : C'est le grain du bois lorsqu'il est coupé perpendiculairement aux anneaux de croissance de l'arbre. Le bois de bout est souvent plus décoratif, mais il est également plus susceptible d'absorber l'humidité et peut être plus difficile à travailler.

  8. Traitement du bois : Il s'agit de divers processus chimiques utilisés pour améliorer la résistance du bois aux insectes, aux champignons et à la pourriture. Les traitements couramment utilisés comprennent le traitement à la créosote, le traitement au cuivre et l'utilisation de divers pesticides.

Ces définitions devraient vous aider à mieux comprendre certains des termes techniques associés aux charpentes de bois.


Définir la notion de « flèche admissible » (1/240 ; 1/360 ; 1/420, etc.)


La "flèche admissible" est un terme technique en génie civil et en construction qui se réfère à la déformation maximale, généralement en forme de courbe, que peut subir une structure sous une charge sans causer de dommages structuraux ou fonctionnels. C'est une mesure de la flexibilité d'un matériau, et elle est calculée en fonction de la charge appliquée et des caractéristiques du matériau.

La flèche est généralement exprimée comme un rapport de la longueur totale de la structure. Par exemple, une flèche admissible de 1/240 signifie que la déformation maximale admissible est de 1/240e de la longueur totale de la structure. Ainsi, si nous avons une poutre de 6 mètres de long, la flèche admissible pour cette poutre serait de 6m / 240 = 0,025 mètres, soit 25 millimètres.

Différentes structures et différents matériaux auront différentes flèches admissibles. Par exemple, une poutre de plancher peut avoir une flèche admissible de 1/360, tandis qu'une poutre de toit peut avoir une flèche admissible de 1/240. Cela dépend de la fonction de la structure, de la charge qu'elle est censée supporter et des codes du bâtiment en vigueur.

Il est important de respecter la flèche admissible lors de la conception et de la construction d'une structure, car une déformation excessive peut entraîner des dommages structuraux, tels que des fissures ou des ruptures, ainsi qu'une diminution de la fonctionnalité de la structure.




Ces termes sont couramment utilisés en génie civil et en construction. Voici leurs définitions :

  1. Surcharge : Il s'agit de toute charge qui dépasse la charge maximale prévue ou admissible d'une structure. Cela peut inclure des charges temporaires, telles que la neige sur un toit, ou des charges supplémentaires imprévues, comme une accumulation excessive de personnes ou d'équipements dans une zone spécifique d'un bâtiment. Les surcharges peuvent causer un stress excessif sur la structure, ce qui peut conduire à des dommages ou même à un effondrement.

  2. Charge permanente : Aussi connue sous le nom de charge morte, c'est le poids des composants structurels de base d'une construction, comme les murs, les planchers, les toits et tout autre élément fixe. Cela comprend le poids de la structure elle-même ainsi que les charges fixes comme les installations sanitaires, les armoires, etc. Ces charges sont constantes et prévisibles.

  3. Surface d’appui : Il s'agit de la zone d'une structure qui est en contact direct avec la structure de soutien ou la fondation, et qui répartit la charge de la structure sur cette fondation. Par exemple, dans le cas d'une colonne, la surface d'appui serait la zone de la base de la colonne qui est en contact avec le sol ou le socle de la colonne. Il est essentiel que la surface d'appui soit suffisamment grande pour éviter la surcharge de la structure de soutien ou la fondation.

Ces notions sont cruciales pour assurer la sécurité et l'intégrité structurelle d'une construction. Les ingénieurs doivent calculer ces charges et surfaces avec précision lors de la conception des bâtiments.



En génie civil et en construction, une variété de charges peuvent solliciter une charpente. Elles sont généralement classées en deux catégories principales : les charges permanentes et les charges d'exploitation (ou charges variables).

  1. Charges permanentes : Comme mentionné précédemment, elles représentent le poids des éléments structurels et non structurels qui ont une position et un poids stables au fil du temps. Cela comprend le poids des murs, des planchers, du toit, et tout autre élément structurel fixe.

  2. Charges d'exploitation (charges variables) : Ces charges varient au fil du temps et peuvent inclure :

    • Charge d'occupation : Le poids des personnes, des meubles, des équipements et de tout autre élément mobile dans le bâtiment.

    • Charge de neige : Le poids de la neige qui s'accumule sur le toit du bâtiment. Ce poids peut varier en fonction de la quantité de neige, de sa densité et de sa répartition sur le toit.

    • Charge de vent : Les forces appliquées à une structure par le vent. Cela peut varier en fonction de la vitesse et de la direction du vent, ainsi que de la forme et de la hauteur de la structure.

    • Charge sismique : Les forces générées par les mouvements de la terre lors d'un tremblement de terre. Les charges sismiques peuvent être particulièrement destructrices, et les bâtiments dans les zones sismiques doivent être conçus pour résister à ces forces.

    • Charge thermique : Les forces générées par l'expansion et la contraction du matériau de construction en raison des variations de température.

Ces charges sont prises en compte dans le calcul de la résistance structurale et de la sécurité d'un bâtiment. Les codes du bâtiment locaux et nationaux définissent généralement les charges minimales auxquelles une structure doit résister.



Une charge latérale est une force qui agit perpendiculairement à la verticale d'une structure. Elle est généralement causée par des phénomènes naturels tels que le vent et les séismes, mais peut également être le résultat d'explosions, d'impacts ou de pressions hydrauliques.

Causes de charges latérales :

  1. Vent : Le vent peut exercer une force considérable sur les côtés d'un bâtiment, en particulier sur les structures hautes comme les gratte-ciels.

  2. Séismes : Les tremblements de terre produisent des forces horizontales et verticales qui peuvent déplacer une structure de sa position initiale.

  3. Explosions ou impacts : Une explosion ou un impact peut provoquer une force latérale soudaine et puissante sur une structure.

  4. Pression hydraulique ou du sol : Dans certains cas, la pression du sol ou de l'eau peut également provoquer des forces latérales, par exemple dans le cas de constructions souterraines ou sous-marines.

Conséquences des charges latérales :

  1. Déformation ou déplacement : Si une structure n'est pas suffisamment résistante ou bien ancrée, une charge latérale peut causer son déplacement ou sa déformation.

  2. Effondrement : Dans les cas extrêmes, une charge latérale peut provoquer l'effondrement de la structure, en particulier si la charge est soudaine et imprévue, ou si la structure n'a pas été correctement conçue ou construite pour résister à ce type de charge.

  3. Fissuration : Les charges latérales peuvent également causer des fissures dans les éléments de la structure, affaiblissant ainsi leur résistance.

Pour minimiser l'impact des charges latérales, les ingénieurs doivent les prendre en compte lors de la conception des structures. Cela peut impliquer l'utilisation de matériaux spécifiques, l'adoption de certaines techniques de construction, comme le contreventement ou la création de murs de cisaillement, ou l'ajout de fonctionnalités spécifiques, comme les amortisseurs de masse accordée dans les gratte-ciels pour réduire leur mouvement en réponse aux forces du vent ou des tremblements de terre.



Ces termes se réfèrent à deux manières différentes dont une charge, ou une force, peut être appliquée à une structure.

  1. Charge concentrée : Une charge concentrée, aussi connue sous le nom de charge ponctuelle, est une charge qui est appliquée en un seul point d'une structure. Cette charge peut être relativement lourde, mais elle est localisée à un endroit spécifique. Par exemple, si vous placez un poids lourd au milieu d'une poutre, vous appliquez une charge concentrée.

  2. Charge uniformément répartie : Une charge uniformément répartie est une charge qui est répartie de manière égale sur toute la longueur ou la surface d'une structure. Cette charge est généralement plus légère par unité de surface ou de longueur, mais elle est appliquée sur une plus grande surface ou une plus grande longueur. Par exemple, la neige sur un toit serait une charge uniformément répartie.

La manière dont une charge est appliquée à une structure a une incidence importante sur la façon dont la structure réagit à cette charge. Les charges concentrées peuvent créer des contraintes élevées en un point spécifique de la structure, ce qui peut entraîner une déformation locale ou des dommages. Les charges uniformément réparties, en revanche, créent des contraintes plus uniformes sur la structure, mais elles peuvent provoquer une déformation sur toute la longueur de la structure.

Il est essentiel de prendre en compte à la fois les charges concentrées et les charges uniformément réparties lors de la conception et de l'analyse des structures. Les ingénieurs doivent s'assurer que les structures sont capables de résister à ces charges sans subir de dommages ou de déformation excessive.



La charpente est une partie essentielle de toute construction, car elle donne à un bâtiment sa forme et sa structure de base, tout en supportant le poids du toit et des étages supérieurs. Il existe plusieurs types de charpentes, dont la charpente traditionnelle, la charpente à fermette et la charpente en bois lamellé-collé, chacune ayant ses propres éléments et sa propre structure. Voici les éléments de base qui composent généralement une charpente traditionnelle en bois :

  1. La Ferme : C'est l'élément principal de la charpente, composé d'un ensemble de poutres qui supportent le poids du toit et transmettent ces charges aux murs porteurs. Chaque ferme est généralement composée des éléments suivants :

    • L'Arbalétrier : Ces sont les poutres diagonales qui constituent les deux côtés de la ferme. Elles supportent la majorité du poids du toit.
    • L'Entrait : C'est la poutre horizontale qui relie les deux arbalétriers au bas de la ferme. Il aide à répartir la charge entre les arbalétriers et à résister aux forces de tension.
    • Le Poinçon : C'est la poutre verticale au centre de la ferme qui aide à soutenir l'entrait et à répartir la charge vers les arbalétriers.
    • Les Contrefiches : Ces poutres diagonales relient le poinçon aux arbalétriers pour aider à stabiliser la structure.
    • Les Faux-entraits et les Jambes de force : Ce sont des poutres supplémentaires qui peuvent être ajoutées à la structure pour fournir un soutien supplémentaire.
  2. Le Chevêtre : C'est une ouverture dans la charpente pour permettre l'installation d'une cheminée ou d'une lucarne.

  3. Les Pannes : Ce sont des poutres horizontales qui reposent sur les fermes et sur lesquelles sont fixées les lattes ou les voliges qui soutiendront le matériau de couverture du toit.

  4. Les Lattes ou les Voliges : Ce sont des planches de bois qui sont fixées aux pannes et qui servent de support au matériau de couverture du toit, comme les tuiles ou les ardoises.

  5. Le Liteau : Il est utilisé pour fixer les matériaux de couverture à la charpente.

  6. Le Soliveau : Il est utilisé pour renforcer la structure et pour soutenir l'isolation et les finitions intérieures.

Ces éléments sont assemblés de manière à créer une structure solide et stable qui peut supporter le poids du toit et résister aux forces environnementales, comme le vent et la neige. Il est important de noter que la conception et la construction de la charpente doivent être effectuées par des professionnels, car toute erreur peut compromettre l'intégrité structurelle du bâtiment.



Dans la construction de charpentes en bois ou d'autres types de structures, différents types d'assemblages sont utilisés pour assurer la stabilité. Voici quelques-uns des plus courants :

Assemblages pour Charpentes en Bois

  1. Assemblage à tenon et mortaise : Un tenon sur une pièce s'insère dans une mortaise sur une autre pièce.

  2. Assemblage à mi-bois : Les deux pièces sont entaillées à moitié pour permettre leur emboîtement.

  3. Assemblage à queue d'aronde : Ce type d'assemblage est très résistant aux forces de traction.

  4. Assemblage à onglet : Les pièces sont coupées en biais et assemblées.

  5. Assemblage à enfourchement : Une pièce est encastrée dans une fente pratiquée dans une autre pièce.

  6. Assemblage par boulonnage : Utilisation de boulons pour fixer deux pièces ensemble.

  7. Assemblage par vissage : Utilisation de vis pour maintenir des pièces ensemble.

  8. Assemblage par clouage ou agrafage : Utilisation de clous ou agrafes pour maintenir des pièces de bois ensemble.

Assemblages pour Structures Métalliques

  1. Assemblage par soudure : Utilisé pour joindre deux pièces de métal en fusionnant leur surface.

  2. Assemblage boulonné : Utilisation de boulons pour fixer deux pièces de métal ensemble.

  3. Assemblage riveté : Utilisation de rivets pour fixer des pièces métalliques entre elles.

Assemblages pour Structures en Béton

  1. Assemblage par adhérence : Le béton frais est coulé contre du béton déjà durci.

  2. Assemblage par ancrage : Des tiges d'acier sont utilisées pour ancrer le béton aux autres composants structurels.

  3. Assemblage par clavetage : Des clavettes en métal ou en plastique sont utilisées pour maintenir les éléments de béton en place.

Ces assemblages sont souvent utilisés en combinaison, et des connecteurs spéciaux, tels que des plaques de fixation ou des étriers, peuvent également être utilisés pour augmenter la stabilité et la résistance aux forces telles que la traction, la compression, la torsion, etc.



Le contreventement est une technique de construction utilisée pour renforcer une structure et la rendre plus résistante aux forces latérales, telles que le vent ou les secousses sismiques. Il peut être utilisé dans une variété de structures, y compris les bâtiments, les ponts et les tours.

Voici quelques-uns des principaux éléments qui composent un système de contreventement :

  1. Poutres de contreventement : Ces poutres sont placées diagonalement dans la structure, généralement en croix, pour augmenter sa résistance et sa rigidité. Elles aident à transférer les forces latérales du haut de la structure vers le bas et jusqu'aux fondations.

  2. Panneaux de contreventement : Ces panneaux, généralement en bois ou en acier, sont fixés à la structure pour augmenter sa résistance aux forces latérales. Ils sont particulièrement utiles dans les constructions à ossature bois.

  3. Poutres de renfort : Elles sont utilisées pour renforcer la structure existante, en particulier autour des ouvertures telles que les portes et les fenêtres, où la résistance structurelle peut être réduite.

  4. Tiges de contreventement : Elles sont souvent utilisées dans les structures en acier pour ajouter une résistance supplémentaire. Elles fonctionnent en tension et sont généralement placées en diagonale entre les éléments structurels.

  5. Murs de cisaillement : Ces murs sont construits pour résister aux forces latérales et les transférer vers les fondations. Ils sont généralement faits de béton ou de maçonnerie.

Il est important de noter que le type de contreventement utilisé et ses éléments spécifiques peuvent varier en fonction du type de structure, des conditions environnementales, du matériau de construction et des réglementations locales. Un ingénieur en structure ou un architecte sera généralement responsable de la conception du contreventement approprié pour une structure donnée.



La stabilité latérale d'une charpente de bois est assurée par une combinaison de composants structurels et de techniques de construction spécifiques. Ces éléments travaillent ensemble pour résister aux forces latérales telles que le vent, les secousses sismiques ou même le poids du bâtiment lui-même. Voici quelques-uns des composants clés :

  1. Contreventement : Comme mentionné précédemment, le contreventement consiste en une série de poutres diagonales ou de panneaux qui ajoutent de la résistance et de la rigidité à la structure. Ces éléments sont généralement installés dans les murs, les planchers et parfois dans les toits de la charpente en bois.

  2. Murs de cisaillement : Il s'agit de murs structuralement renforcés qui résistent aux forces latérales et les transfèrent aux fondations. Ils peuvent être faits de panneaux de contreplaqué, d'OSB (panneaux de particules orientées) ou d'autres matériaux rigides.

  3. Connecteurs métalliques : Ces dispositifs sont utilisés pour renforcer les joints entre les éléments en bois de la charpente. Ils peuvent aider à résister aux forces de cisaillement qui peuvent autrement déplacer ou déformer la structure.

  4. Poteaux : Les poteaux verticaux peuvent aider à résister aux forces de compression et à transférer les charges latérales vers les fondations. Ils doivent être correctement dimensionnés et positionnés pour assurer une répartition équilibrée des charges.

  5. Poutres : Les poutres horizontales ou inclinées peuvent aider à transférer les forces latérales à travers la structure et vers les poteaux et les murs porteurs.

  6. Diaphragmes : Ce sont des éléments structurels horizontaux, comme les planchers ou les toits, qui agissent en résistant à la torsion et aux forces latérales. Ils fonctionnent en distribuant ces forces à travers l'ensemble de la structure.

Il est important de noter que la conception de la stabilité latérale d'une charpente de bois doit être effectuée par un ingénieur en structure ou un architecte qui comprend les forces à l'œuvre et comment les distribuer efficacement à travers la structure.



Il existe de nombreux types de connexions de membrures de bois utilisés dans la construction de charpentes. Le choix du type de connexion dépend de nombreux facteurs, y compris la nature de la charge, l'orientation de la membrure, le type de bois utilisé, les exigences esthétiques et les codes de construction locaux. Voici quelques types de connexions couramment utilisées :

  1. Connexions à onglets : Les connexions à onglets, ou joints à onglets, sont des connexions en angle, généralement à 45 degrés, où deux pièces de bois sont coupées pour se joindre à un angle et sont souvent collées ensemble.

  2. Connexions à tenon et mortaise : Dans ce type de connexion, une extrémité de la membrure (le tenon) est insérée dans un trou correspondant (la mortaise) dans l'autre membrure. C'est une méthode de connexion très ancienne et durable.

  3. Connexions à queue d'aronde : Ce sont des joints qui sont utilisés pour connecter les pièces de bois à angle droit. Ils sont particulièrement forts et résistants à la traction.

  4. Connexions boulonnées : Des boulons, des rondelles et des écrous sont utilisés pour joindre deux ou plusieurs pièces de bois ensemble. Ces connexions sont très fortes et sont souvent utilisées pour les poutres et les colonnes.

  5. Connexions clouées ou vissées : Des clous ou des vis sont utilisés pour joindre deux ou plusieurs pièces de bois. C'est le type de connexion le plus couramment utilisé dans la construction de charpentes en bois.

  6. Connexions à gousset : Un gousset est une plaque, généralement en métal ou en contreplaqué, qui est utilisée pour joindre et renforcer le point où deux ou plusieurs pièces de bois se rencontrent.

  7. Connexions à enfourchement : Dans ce type de connexion, l'extrémité d'une membrure est coupée de manière à s'emboîter sur une autre membrure. Ces connexions sont souvent utilisées dans les charpentes traditionnelles.

  8. Connecteurs métalliques : Il existe une grande variété de connecteurs métalliques spécialement conçus pour joindre les pièces de bois, tels que les plaques de connexion, les attaches à angle droit, les sabots de poteau, etc.

  9. Connexions collées : Des adhésifs structuraux sont utilisés pour joindre deux ou plusieurs pièces de bois. Ces connexions sont généralement utilisées en conjonction avec d'autres méthodes de connexion, comme les clous ou les vis.

Chaque type de connexion a ses avantages et ses inconvénients, et le choix du type de connexion dépend des besoins spécifiques du projet. L'utilisation appropriée des connexions est essentielle pour la résistance et la durabilité de la structure en bois.



Le bois et ses dérivés présentent une série de caractéristiques qui peuvent avoir un impact sur leur utilisation en construction. Voici quelques-unes de ces caractéristiques :

  1. Marquage : Le marquage du bois permet d'identifier le type de bois, la provenance, la classe de résistance, et d'autres informations pertinentes. Il s'agit d'un outil essentiel pour garantir la qualité du bois et sa conformité aux normes de construction.

  2. Teneur en eau : La teneur en eau du bois peut affecter sa résistance, sa durabilité et son poids. Le bois sec est généralement plus léger et plus résistant que le bois vert. La teneur en eau idéale du bois pour la construction est généralement d'environ 15 à 20%.

  3. Tolérance : La tolérance fait référence à la capacité du bois à résister à diverses conditions environnementales, comme l'humidité, la température et la lumière du soleil. Certains types de bois sont naturellement plus tolérants que d'autres.

  4. Protection contre les termites : Le bois est susceptible d'être endommagé par les termites et d'autres insectes nuisibles. Certains types de bois sont naturellement résistants aux termites, tandis que d'autres peuvent être traités avec des produits chimiques pour augmenter leur résistance.

  5. Qualité minimale du bois : La qualité du bois est déterminée par plusieurs facteurs, y compris sa densité, sa résistance, son grain, et la présence de défauts tels que les noeuds, les fissures, et les déformations. Les normes de construction spécifient généralement une qualité minimale pour le bois utilisé dans les structures.

  6. Résistance au feu : Bien que le bois soit un matériau combustible, certains types de bois et de produits dérivés du bois peuvent être traités pour augmenter leur résistance au feu.

  7. Isolation thermique : Le bois est un bon isolant thermique, ce qui signifie qu'il peut aider à maintenir une température stable à l'intérieur d'un bâtiment.

  8. Résistance et rigidité : La résistance du bois dépend de sa densité, de sa teneur en eau, de son grain, et d'autres facteurs. Certains types de bois sont plus résistants et plus rigides que d'autres, ce qui peut les rendre plus appropriés pour certaines applications de construction.

  9. Impact environnemental : Le bois est un matériau renouvelable qui peut être produit avec un impact environnemental relativement faible, surtout si l'on compare avec d'autres matériaux de construction tels que l'acier ou le béton. Cependant, l'exploitation forestière doit être gérée de manière durable pour prévenir la déforestation et la perte d'habitats naturels.

  10. Esthétique : Le bois est souvent choisi pour sa beauté naturelle. Les différents types de bois présentent une variété de couleurs, de motifs de grain, et de textures qui peuvent ajouter de la chaleur et du caractère à un bâtiment.

Chaque projet de construction peut avoir des exigences spécifiques en matière de caractéristiques du bois, et il est important de choisir le bon type de bois pour chaque application.


Les propriétés mécaniques du bois de construction peuvent être évaluées visuellement grâce à diverses techniques de classement. Ce processus est souvent effectué en usine, et les résultats sont généralement marqués ou estampillés sur le bois lui-même.

Une estampille ou une marque du bois est généralement composée de plusieurs éléments, dont :

  1. La catégorie de résistance : La résistance du bois est classée en fonction de la capacité de résistance aux contraintes comme la compression, la flexion, le cisaillement, etc. Ces catégories sont généralement désignées par des lettres et des chiffres, comme "SS" pour Select Structural, "No.1", "No.2", etc.

  2. L'espèce ou le groupe d'espèces : Différentes espèces de bois ont des caractéristiques différentes, il est donc important de spécifier l'espèce du bois ou le groupe d'espèces auquel il appartient. Par exemple, SPF est une marque courante qui signifie Spruce-Pine-Fir, indiquant que le bois peut être l'une de ces trois espèces.

  3. La teneur en humidité : La marque peut également indiquer si le bois a été séché en séchoir (KD pour Kiln-Dried) ou s'il est vert (GRN). La teneur en humidité du bois peut avoir un impact significatif sur ses propriétés mécaniques.

  4. Le nom ou le logo du moulin : Cela permet d'identifier l'origine du bois et de confirmer qu'il a été correctement classé.

  5. La marque de l'agence d'inspection : Cette marque indique que le bois a été inspecté et classé par une agence reconnue, assurant ainsi que le bois répond à certaines normes de qualité.

Il est important de noter que le classement visuel n'est qu'une méthode d'évaluation des propriétés mécaniques du bois. D'autres méthodes, comme le classement par machine, peuvent également être utilisées pour obtenir des informations plus précises et détaillées sur les propriétés du bois.

La marque "MER" n'est pas reconnue dans le domaine du bois d'ingénierie ou de construction tel qu'il est connu jusqu'en septembre 2021. Pourriez-vous fournir plus d'informations à ce sujet afin que je puisse vous donner une réponse plus précise ?



Différents types de bois et de matériaux à base de bois sont utilisés pour les structures en bois, chacun ayant ses propres qualités, grades et caractéristiques. Voici quelques exemples :

  1. SPF (Spruce-Pine-Fir) : Il s'agit d'un groupe commun de conifères utilisés dans la construction en Amérique du Nord. Les caractéristiques communes à ces espèces sont leur résistance à la flexion, à la compression et à la traction. Le bois SPF est souvent utilisé pour les charpentes, les poteaux, les planchers et les toits. Il est généralement disponible en différents grades, dont le "No.1" et le "No.2".

    • No.1 : Il est de qualité supérieure par rapport à No.2, ayant moins de nœuds et d'autres défauts. Il a une plus grande résistance et est souvent utilisé dans les applications nécessitant une plus grande capacité de charge.

    • No.2 : C'est un grade courant pour le bois de charpente. Il peut avoir plus de nœuds et d'autres défauts que le No.1, mais il est toujours approprié pour la plupart des applications de construction.

  2. OSB (Oriented Strand Board) : Il s'agit d'un type de panneau à base de bois fabriqué à partir de lanières de bois orientées de manière spécifique et collées ensemble sous pression. L'OSB est un matériau de construction populaire en raison de sa résistance, de sa durabilité et de son coût relativement bas.

    • OSB01 (OSB/1) : C'est un panneau non chargé, adapté aux utilisations en milieu sec. Il peut être utilisé pour des applications comme l'ameublement et l'emballage.

    • OSB02 (OSB/2) : Il est adapté aux charges sèches et est souvent utilisé pour des applications structurelles et non structurelles en milieu sec.

    • OSB03 (OSB/3) : Il est adapté aux charges humides et sèches et est souvent utilisé pour des applications structurelles et non structurelles dans des conditions d'humidité.

  3. Bois d'œuvre : Le bois d'œuvre est le terme général pour le bois qui a été scié en planches, poutres et autres formes utilisées dans la construction. Il est classé en fonction de sa résistance et de son apparence, avec des grades comme Select Structural (SS), No.1, No.2, et ainsi de suite.

  4. Plywood (Contreplaqué) : Il s'agit d'un matériau à base de bois fabriqué en collant ensemble plusieurs fines couches de bois, ou placages, sous pression. Il est souvent utilisé pour les planchers, les toits, et les murs en raison de sa résistance et de sa stabilité dimensionnelle.

Il est important de choisir le bon matériau pour chaque application en fonction des exigences spécifiques du projet et des normes de construction locales.



Le Code de construction du Québec - Chapitre I, Bâtiment, est un ensemble de règlements et de normes établis par le gouvernement du Québec pour régir la construction de bâtiments dans la province. Le code est structuré en plusieurs parties et sections, chacune ayant un usage spécifique.

En ce qui concerne les travaux de charpentes de bois, les sections suivantes sont particulièrement pertinentes :

  1. Partie 2 - Bâtiments de petite dimension : Cette partie traite des normes pour la construction de bâtiments résidentiels de petite taille, y compris les maisons unifamiliales. Elle contient des informations spécifiques sur la construction de charpentes en bois, y compris les exigences pour les matériaux, la conception, et l'installation.

  2. Partie 3 - Bâtiments de grande dimension : Cette partie couvre les normes pour la construction de bâtiments plus grands, y compris les immeubles d'habitation, les immeubles commerciaux, et les bâtiments industriels. Elle comprend des informations sur la construction de charpentes en bois pour ces types de bâtiments.

  3. Partie 4 - Structure : Cette partie du code traite des exigences structurelles pour tous les types de bâtiments, y compris les exigences pour la résistance au vent, la résistance au feu, et les charges de neige. Elle contient également des informations spécifiques sur la conception des charpentes en bois.

  4. Partie 5 - Enveloppe du bâtiment : Cette partie du code couvre les exigences pour l'enveloppe du bâtiment, y compris les murs, les toits, et les planchers. Elle contient des informations sur l'utilisation du bois dans la construction de ces éléments.

  5. Partie 9 - Bâtiment : Cette partie s'applique aux bâtiments de petite envergure, qui incluent principalement des habitations et des petits commerces. Elle contient des informations sur les exigences relatives aux charpentes en bois, y compris la taille, l'espacement et le type de bois utilisé pour les éléments structuraux, ainsi que des détails sur la manière de construire des murs, des planchers et des toits en bois.

Chaque partie du code contient une série de sections qui fournissent des informations détaillées sur chaque sujet. Il est important de noter que le code est régulièrement mis à jour pour refléter les progrès de la technologie de la construction et les meilleures pratiques de l'industrie. Par conséquent, il est essentiel de toujours se référer à la version la plus récente du code lors de la planification et de l'exécution des travaux de construction.



L'Association canadienne de normalisation (Canadian Standards Association, CSA) est une organisation à but non lucratif qui développe des normes pour un large éventail de produits, de services et de systèmes. Ces normes visent à promouvoir la sécurité, la durabilité, l'efficacité et l'interchangeabilité.

Fondée en 1919, la CSA a évolué pour devenir l'un des plus grands fournisseurs de normes et de programmes de certification au Canada. Les normes de la CSA couvrent un large éventail de domaines, y compris la construction et l'ingénierie, l'énergie, l'environnement, la santé et la sécurité, la technologie de l'information, et bien d'autres.

Voici quelques rôles clés de la CSA :

  1. Développement de normes : La CSA développe des normes pour divers produits, services et systèmes. Ces normes sont développées par des comités d'experts, qui incluent des représentants de l'industrie, du gouvernement, des groupes de consommateurs, et d'autres parties prenantes.

  2. Certification et essais : La CSA offre également des services de certification et d'essais pour aider les entreprises à démontrer que leurs produits, services ou systèmes sont conformes aux normes applicables. La marque de certification CSA est largement reconnue au Canada et dans le monde entier comme une preuve de conformité.

  3. Formation et éducation : La CSA propose également des programmes de formation et des ressources éducatives pour aider les professionnels à comprendre et à appliquer les normes.

  4. Influence internationale : En plus de son travail au Canada, la CSA participe également à l'élaboration de normes internationales par le biais d'organisations telles que l'Organisation internationale de normalisation (ISO).

En ce qui concerne les travaux de charpentes de bois, la CSA a établi une série de normes qui couvrent des aspects tels que la conception, la fabrication, l'installation et l'inspection. Ces normes aident à assurer que les charpentes en bois sont sûres, durables et aptes à l'usage prévu.



Plusieurs normes sont applicables aux travaux de charpentes de bois, notamment des normes établies par l'Association canadienne de normalisation (CSA) et d'autres organismes. Ces normes couvrent un large éventail de domaines, de la conception à la construction et à l'inspection.

  1. CSA O86 "Ingénierie du bois" : C'est la principale norme canadienne qui régit l'ingénierie des structures en bois. Elle couvre la conception, la construction et l'inspection des structures en bois pour une variété de charges, y compris la gravité, le vent et la neige.

  2. CSA B111 "Code sur les produits en bois" : Ce code couvre la qualité et la classification des produits en bois utilisés dans la construction.

  3. CSA O80 Series "Normes de préservation du bois" : Ces normes définissent les méthodes de préservation du bois et les types de préservatifs à utiliser pour différents types de bois et d'applications.

  4. ASTM D245 "Norme de pratique pour l'établissement des qualités structurelles pour le bois de construction dimensionné visuellement" : Bien qu'elle soit américaine (ASTM International), cette norme est largement utilisée pour déterminer les qualités structurelles du bois de construction.

  5. ASTM D4761 "Norme de méthode d'essai pour les propriétés mécaniques du bois" : Cette norme définit les méthodes d'essai pour déterminer les propriétés mécaniques du bois.

  6. Normes du National Building Code of Canada (NBCC) : Le NBCC établit les exigences minimales pour la conception et la construction de nouveaux bâtiments et pour la rénovation et la démolition de bâtiments existants. Il comprend des normes spécifiques pour la construction en bois.

  7. Normes de l'American Wood Council (AWC) : Les normes de l'AWC, y compris le National Design Specification (NDS) for Wood Construction, sont souvent utilisées en complément des normes canadiennes.

Chaque province ou territoire peut avoir ses propres codes du bâtiment qui peuvent compléter ou modifier les normes nationales. Au Québec, le Code de construction du Québec doit être suivi. Ces codes locaux peuvent avoir des exigences spécifiques pour la construction en bois dans leur juridiction.

Il est important de noter que les normes évoluent avec le temps en fonction des progrès technologiques et des connaissances scientifiques. Par conséquent, il est essentiel de consulter la version la plus récente de chaque norme lors de la planification et de l'exécution des travaux de construction.



Plusieurs codes et normes s'appliquent à la construction de charpentes en bois, et leur champ d'application peut varier en fonction des matériaux, des types de bâtiments, et d'autres facteurs. Voici une vue d'ensemble de l'application de quelques-uns des principaux codes et normes :

  1. CSA O86 "Ingénierie du bois" : Cette norme s'applique à la conception, la construction et l'inspection des structures en bois, y compris les charpentes, les planchers, et les toits. Elle couvre une variété de matériaux en bois, y compris le bois massif, le bois d'ingénierie et les panneaux de bois. La norme s'applique à tous les types de bâtiments, y compris les bâtiments résidentiels, commerciaux et industriels.

  2. CSA B111 "Code sur les produits en bois" : Cette norme s'applique à la qualité et la classification des produits en bois utilisés dans la construction. Elle couvre une variété de produits, y compris le bois d'œuvre, les panneaux de bois, les poutres et les colonnes.

  3. CSA O80 Series "Normes de préservation du bois" : Ces normes s'appliquent aux méthodes de préservation du bois et aux types de préservatifs à utiliser pour différents types de bois et d'applications. Elles couvrent une variété de produits en bois, y compris les poutres, les planches, les poteaux et les piquets.

  4. ASTM D245 et D4761 : Ces normes américaines s'appliquent à la détermination des propriétés structurelles et mécaniques du bois de construction. Elles couvrent une variété de produits en bois, y compris le bois d'œuvre et les panneaux de bois.

  5. Normes du National Building Code of Canada (NBCC) : Le NBCC s'applique à la conception et la construction de tous les nouveaux bâtiments et à la rénovation et la démolition de bâtiments existants. Il comprend des normes spécifiques pour la construction en bois, y compris les charpentes.

  6. Normes de l'American Wood Council (AWC) : Les normes de l'AWC, y compris le National Design Specification (NDS) for Wood Construction, s'appliquent à la conception et la construction de structures en bois dans une variété de types de bâtiments.

  7. Code de construction du Québec : Le Code de construction du Québec s'applique à tous les travaux de construction réalisés dans la province du Québec. Il a des sections spécifiques qui traitent de la construction en bois, et il couvre à la fois le bois d'œuvre et le bois d'ingénierie.

Chaque code ou norme a ses propres limites et exceptions, donc il est important de les lire attentivement et de comprendre leur champ d'application avant de les utiliser dans la conception ou la construction d'une charpente en bois. En cas de doute, il est toujours recommandé de consulter un ingénieur ou un autre professionnel qualifié.



Le Code de construction du Québec, Chapitre I - Bâtiment, est la principale législation régissant la construction de bâtiments dans la province du Québec. Il est structuré en plusieurs sections, chacune traitant d'un aspect spécifique de la construction du bâtiment, y compris la construction de charpentes en bois. Ce code est mis à jour régulièrement pour intégrer les avancées technologiques et les nouvelles normes de l'industrie.

Pour ce qui est des travaux de charpente en bois, le Code de construction du Québec se réfère souvent à d'autres codes et normes, tels que ceux de l'Association canadienne de normalisation (CSA) et du Conseil national de recherches du Canada (CNRC), qui publie le Code national du bâtiment du Canada (CNBC).

Par exemple, la section sur les structures en bois du Code de construction du Québec peut se référer à la norme CSA O86 pour les détails spécifiques sur la conception et la construction de charpentes en bois. De même, le code peut faire référence à d'autres normes pour des aspects spécifiques tels que la protection contre l'incendie, la résistance aux séismes, etc.

Il est également à noter que le Code de construction du Québec est une loi provinciale, et son respect est obligatoire pour tous les travaux de construction dans la province. Cependant, les normes de l'ACNOR, du CNRC, et d'autres organismes sont des guides qui établissent des meilleures pratiques et des standards de l'industrie. Bien qu'elles ne soient pas toujours juridiquement obligatoires, elles sont largement suivies par l'industrie et souvent citées dans les lois et les règlements.

En résumé, le Code de construction du Québec établit les exigences générales pour la construction de bâtiments, y compris les charpentes en bois, tandis que d'autres codes et normes fournissent des détails et des orientations spécifiques sur la manière de respecter ces exigences. L'interaction entre ces différents codes et normes contribue à assurer la sécurité, l'efficacité et la durabilité des structures en bois dans la province du Québec.



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